C’est bien connu : janvier est le mois des bilans et autres clôtures comptables.
Mon activité de consultante indépendante n’y échappe pas. A la fin de cette première année d’activité à mon compte, j’ai dressé mon bilan, plus opérationnel que financier.
Pour m’y aider, j’ai suivi le workshop « Destination 2024 » proposé par Mathilde Durand qui accompagne les freelances débutant•es.
C’est parti pour le regard dans le rétroviseur de 2023.
Un départ sur les chapeaux de roue
Lorsque j’ai lancé Is@ vous Zed, j’avais déjà une mission dans les tuyaux. Je savais que d’entrée de jeu, j’allais pouvoir travailler sur un projet de longue haleine.
Et pour mettre toutes les chances de mon côté :
- j’ai suivi une formation sur WordPress pour construire mon site,
- j’ai pris l’attache d’une avocate spécialiste en propriété intellectuelle et nouvelles technologies pour encadrer mes contrats de prestation de services
- j’ai fait appel à une agence pour créer mon identité visuelle
Une pause imprévue mais bienvenue
Par un heureux concours de circonstances faisant intervenir une amie praticienne de Shiatsu, une proposition Pôle Emploi et un webinaire d’information, j’ai intégré fin février une formation à temps plein destinée aux femmes en seconde partie de carrière.
Dispensée par WinSide, cette formation intense de deux mois m’a permis de découvrir l’univers du No Code et de monter en compétences sur le pilotage de projets.
A l’issue de ces deux mois, j’avais
- ajouté de nouveaux outils digitaux à ma boîte à outils
- partagé de véritables moments de sororité avec des camarades de promotion
- découvert et intégré une communauté bienveillante, celle du No Code
Un nouveau tournant
Travailler le relationnel n’entrait clairement pas dans le business plan initial que j’avais construit avant de me lancer.
Toutefois, au deuxième trimestre, plusieurs rencontres ont mis sur le devant de la scène cet aspect indispensable à la poursuite de mon activité :
- lors d’une visite apprenante avec WinSide, j’avais rencontré Pulse, incubateur situé à Montreuil, qui proposait un programme destiné aux porteurs de projets à impact relevant de l’économie sociale et solidaire. Devant la possible convergence entre leurs actions et mes compétences, j’avais laissé mes coordonnées à la chargée d’accompagnement.
- les formatrices et formateurs du programme No Codeuses de WinSide avaient présenté les missions et actions de l’association No Code France
- ayant assisté à un webinaire présentant le programme Freelance for Good, j’ai été invitée à participer à une soirée destinée aux freelances et organisée par Social Declik.
Aussi, des actions se sont mises en place :
- en mai, j’ai été invitée par Pulse à animer un atelier sur la recherche de fonds publics
- j’ai rejoint l’association No-Code France en tant qu’adhérente et bénévole dans la Guilde Diversité & Inclusion
- j’ai fait la connaissance lors d’une soirée d’une personne qui m’a recommandée. De cette recommandation est née une mission.