Is@ vous Zed

Badgez votre gouvernance

Badge Isabelle Dumont sur LinkedIn

Quels avantages pour une association d’intégrer les badges de profil public LinkedIn de ses administratrices et administrateurs, de ses bénévoles et des membres de sa gouvernance sur son site internet ? Badgez vos équipes et boostez votre site Selon l’adage bien connu, ce qui n’existe pas sur internet n’existe tout simplement pas. Individu ou personne morale, notre existence est confirmée, vérifiée et validée par nos traces numériques. Les associations et plus généralement toutes les structures à impact se doivent d’être présentes en ligne. Leur visibilité numérique participe de leur crédibilité, en particulier auprès de potentiels financeurs. S’il est admis que la présence sur la toile se décline sous différents formats, celui qui assoit le mieux la légitimité du projet associatif reste pour le moment le site internet, la vitrine portant la vision, les missions et les valeurs de l’association. Toutefois, on oublie parfois que celles et ceux qui portent ce projet associatif, les membres de la gouvernance, les bénévoles et les salarié•es éventuel•les, sont aussi important•es que les actions menées ou que les actualités mises en avant. ”Qui nous sommes”, “Notre équipe”, “Le Conseil d’administration” peu importe comment s’appelle la page, l’important est que l’association puisse mettre en avant ses forces vives, celles et ceux qui font vivre l’association tant sur le terrain que du côté administratif. Mais comment présenter leur expertise, leurs compétences et leurs rôles de façon rapide et efficace ? Une solution : intégrez les badges de profil public LinkedIn de vos équipes sur votre site ! Quelques préalables Pour maximiser l’impact de cette intégration, il convient que les profils LinkedIn que l’association partagera sur son site soient : à jour : le rôle dans l’association et les missions réalisées ou en cours de réalisation seront mentionnés à la rubrique « Expérience » et/ou à la rubrique « Bénévolat » ; soignés : avec une photo de profil, une bannière, les principales rubriques renseignées ;  actifs : sur et aussi en dehors du réseau avec un post épinglé, des publications récentes ou encore un lien vers une vidéo  Le partage sera fait sur la base du volontariat puisque chaque profil transmettra un code à la webmaîtresse ou au webmaster pour l’intégration sur le site de l’association. Comment faire ? LinkedIn fournit une méthode pas à pas pour créer un badge de profil public puis pour l’intégrer dans une page sur un site. Sinon, voici le tuto fait maison pour vous accompagner pas à pas dans la création d’un badge : Quels avantages ? Gain de visibilité : l’utilisation des badges LinkedIn peut avoir un impact positif sur le référencement SEO et améliorer le trafic organique vers votre site Gain de temps : toutes les informations essentielles sont déjà compilées sur LinkedIn Gain de crédibilité : en affichant les badges des membres de la gouvernance sur son site, l’association affiche sa transparence ; en affichant ceux de ses bénévoles, elle affiche son dynamisme ; en affichant ceux de ses salarié•es, elle affiche son professionnalisme. Quel que soit le besoin de votre association en terme de digitalisation, si nous en parlions ensemble ? Je réserve mon rendez-vous découverte

Les outils #4 : Save to Notion

Visuel de la sauvegarde via l'outil Save to Notion

Dans l’univers de Notion, une extension gratuite se taille la part du lion quand il est question de sauvegarder du contenu depuis le web : Save to Notion Un outil ingénieux Avant de connaître Notion, que de fois ai-je copié-collé des textes provenant d’Internet pour les sauvegarder sous Word dans des dossiers numériques ! Depuis la découverte de Notion, cette période est révolue. D’autant qu’il existe une extension gratuite, téléchargeable sur Chrome, qui s’appelle Save to Notion. L’utilité de cette extension est de sauvegarder en quelques clics dans une base de données l’intégralité d’une page Internet. Un article de fond vous intéresse ? Une newsletter partage des conseils que vous souhaitez mettre de côté ? Vous avez trouvé la recette ultime des sablés de Noël et vous voulez la retrouver très facilement ? Les usages sont multiples, mais la procédure simple et unique. Installez l’extension Save to Notion depuis le Chrome Web Store Dans la barre de navigation, affichez l’icone Save to Notion Côté Notion, créez la base de données dans laquelle seront sauvegardées les pages web  En navigation, une fois sur la page que vous souhaitez conserver, cliquer sur le bouton. Un menu contextuel s’ouvre, vous proposant plusieurs bases de données. Une fois la base choisie, vous pouvez également déterminer les attributs que vous souhaitez indiquer. Donc, sans quitter le web, vous allez enregistrer et caractériser le contenu pour mieux retrouver ensuite votre page sauvegardée. Présentation en images Quelques limitations L’extension Save to Notion a du mal à sauvegarder les pages créées déjà sur Notion. De même dans le cadre de recettes où il est possible sur le site de choisir le nombre de personnes et qui fait varier de ce fait les quantités, la sauvegarde n’est pas automatique. Connaissant ces limitations, rien de plus simple que de vérifier une fois la sauvegarde faite que l’intégralité de l’article a bien été conservé. Mon avis Gain de temps et facilité d’utilisation : encore un combo gagnant ! Un indispensable pour démultiplier l’efficacité de Notion. Quel que soit le besoin de votre association en terme de digitalisation, si nous en parlions ensemble ? Je réserve mon rendez-vous découverte

Les outils # 3 : Notion Calendar

Image d'illustration avec des personnages Notion

Un nouvel outil dans la boîte Vous le savez, je suis fan de Notion. C’est d’ailleurs mon outil #1 ! Fan de sa facilité de prise en main, fan de sa modularité, fan des possibilités offerte par cet outil. Désormais, je suis méga fan parce que Notion vient de lancer (le 18 janvier 2024) le Notion Calendar. Pour faire simple, un outil qui vous permet d’allier les fonctionnalités de votre Google Calendar avec vos bases de données en vue calendrier sous Notion. Je ne me lancerai pas dans un tutoriel de présentation : Shubham Sharma, Vince de Kréa City ou encore Lou Attal l’ont déjà fait. Je vous invite à voir ces vidéos pour découvrir visuellement l’outil. Un nouveau calendrier, pourquoi faire ? Notion Calendar vient se superposer à votre Google Calendar. Sa force ? Il vient agréger toutes les vues calendrier que vous pouvez avoir dans vos bases de données Notion pour les intégrer et les synthétiser dans un seul outil. Jusqu’à présent, je jonglais entre plusieurs calendriers ou vues chronologiques éparpillées : les vues calendrier de mes missions de consultante, dans lesquelles des tâches sont indiquées avec des plages de travail et des dates limite le calendrier pour toutes les tâches récurrentes, celles que l’on risque le plus facilement d’oublier, quand on est prise dans le quotidien : la déclaration URSSAF, la sauvegarde de l’espace Notion, la sauvegarde du site Internet, la mise à jour de la comptabilité, les rapprochements bancaires et toutes ces petites tâches chronophages mais véritablement incontournables le calendrier éditorial dans lequel j’ai programmé les articles à rédiger pour mon site et les idées de posts à mettre sur LinkedIn le calendrier de rendez-vous professionnels lié à l’outil Koalendar pour les rendez-vous découverte Et mon calendrier de rendez-vous personnels De quoi s’y perdre ! Quelle utilité ? La question se pose de la performance de l’outil par rapport aux outils déjà existants ou déjà en place. Comme je l’ai dit, Notion Calendar est une couche supplémentaire qui vient agréger les actions, tâches et sous tâches enregistrées dans Notion avec votre calendrier classique. De plus, Notion Calendar permet un gain de temps dans la programmation des rendez-vous. On reste dans l’idée de l’espace collaboratif cher à Notion. Donc directement depuis le calendrier, il est possible de réserver des plages horaires, d’envoyer le lien de réservation aux personnes invitées à la réunion et que celles-ci ci et ceux-ci puissent répondre directement. Une fois le créneau bloqué par les participant•es, les autres dates et horaires proposés s’effacent. Un énorme gain de temps, quand on sait la difficulté qu’il y a à bloquer un créneau de rendez-vous et de réunion quand il y a plus de deux personnes ! Pour découvrir toutes les fonctionnalités : voir les premiers pas avec Notion Calendar Ce que j’en pense Clairement, je ne pensais pas avoir besoin d’un nouveau calendrier. Je m’étais habituée à passer d’une vue calendrier à une autre dans mon espace Notion professionnel. La perte de temps me paraissait gérable au regard des autres avantages de Notion. Comme Notion est l’outil central sur lequel je pilote mon activité, il va de soi que je me tiens informée des nouveautés. Donc, j’ai assisté à un webinaire de présentation de Notion Calendar. Et aussitôt la présentation faite, je l’ai téléchargé et y ai rapatrié tous mes calendriers et toutes mes vues calendrier… J’ai également installé l’app sur mon téléphone et ma tablette. Je n’ai pas encore exploité toutes les possibilités de l’outil. Travaillant en solo, toutes les fonctionnalités de partage en mode équipe ne me sont pas très utiles pour le moment. Travaillant en France, l’affichage de plusieurs fuseaux horaires en marge du calendrier ne m’est pas très utile non plus. Quelques bémols J’aurais aimé trouver quelques fonctionnalités natives comme la mise à jour dans les deux sens c’est-à-dire de Notion Calendar vers Google Calendar pour bloquer les temps de travail profond ou bien encore la possibilité depuis Notion Calendar d’utiliser un modèle de page d’une base de données lors de la création d’un rendez-vous. Mon avis Notion + Notion Calendar : combo gagnant pour la productivité et la gestion du temps. Je recommande d’autant plus que l’outil est lui aussi gratuit. Lien de téléchargement de Notion Calendar Télécharger Notion (lien affilié) Quel que soit le besoin de votre association en terme de digitalisation, si nous en parlions ensemble ? Je réserve mon rendez-vous découverte

Les outils #2 : le time tracker

Horloges de couleurs pastel

J’ai adopté pour mon activité un time tracker Gérer son temps en tant que freelance est un véritable défi auquel je n’étais clairement pas préparée quand j’ai lancé mon activité en janvier 2023. S’il a été facile pendant les deux premiers mois de tracer mon temps dans la mesure où je n’avais qu’une seule association cliente, dès que mon activité s’est développée à la fin du premier semestre, la question du suivi des heures par mission s’est imposée. J’ai donc souscrit un abonnement à un outil avancé qui suit pas à pas mes activités et ce à quoi je consacre mon temps chaque jour. Un outil autant d’analyse que d’appui pour ma facturation au temps passé. Accompagnant les associations dans leur développement et leur changement d’échelle, je me suis posé la question de la pertinence d’un tel outil. Adopter les outils de l’entreprise pour optimiser le fonctionnement d’une association, est-ce une vraie fausse bonne idée ?  A quoi peut bien servir un outil de time tracking pour une association ? Un outil servant à mesurer le temps va donner des indications de gestion du temps. CQFD. Mais encore ? Quels usages peut-on espérer d’une telle pratique au sein d’un organisme sans but lucratif ? Repérer, estimer et analyser : repérer les tâches répétitives sans valeur ajoutée qui pourraient être remplacées par des outils et des automatisations, permettant de libérer du temps de terrain pour les équipes estimer les temps consacrés à la gestion de certains projets. Chiffrer le temps passé par les équipes salariées au pilotage de certaines actions de fond permet de définir précisément la quote-part de fonctionnement attribuée à chaque projet, autrement qu’au doigt mouillé. analyser les temps de rupture et la difficulté de concentration pour sanctuariser des temps de travail sans distraction. Le recours à cette pratique peut également appuyer une réflexion de fond sur l’organisation du temps de travail. Elle apporte des éléments tangibles, mesurables et quantifiables. Equilibre de vie, fonctionnement hybride présentiel et distanciel, temps de mobilisation vs temps de récupération… les applications et usages ne manquent pas. Les freins à la mise en place Importer de manière brutale des outils de productivité issus de l’entreprise dans le monde associatif sans pédagogie préalable pourrait être plus que mal perçu avec une réticence à utiliser un outil technologique imposé crainte de surveillance (flicage) des activités en ligne  remise en question de la confiance et du degré d’autonomie des équipes Mes recommandations Adaptation plutôt qu’imposition ! Le recours à un outil de suivi qui traque automatiquement n’est pas un indispensable. Mais savoir où passe le temps est en revanche plus que nécessaire pour améliorer la qualité de vie au travail. Des templates – sur Notion par exemple – permettent de faire un suivi avec une heure de début et une heure de fin.  L’activité répartie en blocs de temps selon la méthode Pomodoro offre aussi la possibilité d’estimer le temps passé selon les tâches réalisées. Il existe des applications en ligne gratuites pour créer sa to-do list et planifier ses temps de travail selon cette méthode. Alors, utile ou pas utile ? La mise en place d’un outil automatique est profitable dans le cas d’une association développant de nombreuses actions et projets. Les associations proposant des actions de sensibilisation ou de formation pourront s’appuyer sur l’outil pour vérifier l’adéquation entre le temps passé réellement à construire les interventions et le montant facturé.  Enfin, c’est un bon support pour générer des indicateurs fiables dans le cadre de subventions, traçabilité à l’appui. Son utilité est évidente dans le suivi administratif et comme accessoire de pilotage opérationnel. Rize Pour ma pratique de consultante indépendante, j’ai souscrit un abonnement à Rize, outil Saas qui me permet d’ : avoir une vue d’ensemble de mon temps de travail analyser les phases de focus et les temps de pause affecter certaines tâches à des missions précises pour facturer les clients au temps réel passé apprécier plus justement les blocs de temps nécessaires à la réalisation d’une tâche : non, clairement, rédiger un article sur le blog ne me prend pas une heure ! Si vous souhaitez découvrir Rize, voici un lien d’affiliation pour tester cet outil avec un mois gratuit offert. Quel que soit le besoin de votre association en terme d’organisation, si nous en parlions ensemble ? Je réserve mon rendez-vous découverte