Is@ vous Zed

Badgez votre gouvernance

Badge Isabelle Dumont sur LinkedIn

Quels avantages pour une association d’intégrer les badges de profil public LinkedIn de ses administratrices et administrateurs, de ses bénévoles et des membres de sa gouvernance sur son site internet ? Badgez vos équipes et boostez votre site Selon l’adage bien connu, ce qui n’existe pas sur internet n’existe tout simplement pas. Individu ou personne morale, notre existence est confirmée, vérifiée et validée par nos traces numériques. Les associations et plus généralement toutes les structures à impact se doivent d’être présentes en ligne. Leur visibilité numérique participe de leur crédibilité, en particulier auprès de potentiels financeurs. S’il est admis que la présence sur la toile se décline sous différents formats, celui qui assoit le mieux la légitimité du projet associatif reste pour le moment le site internet, la vitrine portant la vision, les missions et les valeurs de l’association. Toutefois, on oublie parfois que celles et ceux qui portent ce projet associatif, les membres de la gouvernance, les bénévoles et les salarié•es éventuel•les, sont aussi important•es que les actions menées ou que les actualités mises en avant. ”Qui nous sommes”, “Notre équipe”, “Le Conseil d’administration” peu importe comment s’appelle la page, l’important est que l’association puisse mettre en avant ses forces vives, celles et ceux qui font vivre l’association tant sur le terrain que du côté administratif. Mais comment présenter leur expertise, leurs compétences et leurs rôles de façon rapide et efficace ? Une solution : intégrez les badges de profil public LinkedIn de vos équipes sur votre site ! Quelques préalables Pour maximiser l’impact de cette intégration, il convient que les profils LinkedIn que l’association partagera sur son site soient : à jour : le rôle dans l’association et les missions réalisées ou en cours de réalisation seront mentionnés à la rubrique « Expérience » et/ou à la rubrique « Bénévolat » ; soignés : avec une photo de profil, une bannière, les principales rubriques renseignées ;  actifs : sur et aussi en dehors du réseau avec un post épinglé, des publications récentes ou encore un lien vers une vidéo  Le partage sera fait sur la base du volontariat puisque chaque profil transmettra un code à la webmaîtresse ou au webmaster pour l’intégration sur le site de l’association. Comment faire ? LinkedIn fournit une méthode pas à pas pour créer un badge de profil public puis pour l’intégrer dans une page sur un site. Sinon, voici le tuto fait maison pour vous accompagner pas à pas dans la création d’un badge : Quels avantages ? Gain de visibilité : l’utilisation des badges LinkedIn peut avoir un impact positif sur le référencement SEO et améliorer le trafic organique vers votre site Gain de temps : toutes les informations essentielles sont déjà compilées sur LinkedIn Gain de crédibilité : en affichant les badges des membres de la gouvernance sur son site, l’association affiche sa transparence ; en affichant ceux de ses bénévoles, elle affiche son dynamisme ; en affichant ceux de ses salarié•es, elle affiche son professionnalisme. Quel que soit le besoin de votre association en terme de digitalisation, si nous en parlions ensemble ? Je réserve mon rendez-vous découverte

Les outils #4 : Save to Notion

Visuel de la sauvegarde via l'outil Save to Notion

Dans l’univers de Notion, une extension gratuite se taille la part du lion quand il est question de sauvegarder du contenu depuis le web : Save to Notion Un outil ingénieux Avant de connaître Notion, que de fois ai-je copié-collé des textes provenant d’Internet pour les sauvegarder sous Word dans des dossiers numériques ! Depuis la découverte de Notion, cette période est révolue. D’autant qu’il existe une extension gratuite, téléchargeable sur Chrome, qui s’appelle Save to Notion. L’utilité de cette extension est de sauvegarder en quelques clics dans une base de données l’intégralité d’une page Internet. Un article de fond vous intéresse ? Une newsletter partage des conseils que vous souhaitez mettre de côté ? Vous avez trouvé la recette ultime des sablés de Noël et vous voulez la retrouver très facilement ? Les usages sont multiples, mais la procédure simple et unique. Installez l’extension Save to Notion depuis le Chrome Web Store Dans la barre de navigation, affichez l’icone Save to Notion Côté Notion, créez la base de données dans laquelle seront sauvegardées les pages web  En navigation, une fois sur la page que vous souhaitez conserver, cliquer sur le bouton. Un menu contextuel s’ouvre, vous proposant plusieurs bases de données. Une fois la base choisie, vous pouvez également déterminer les attributs que vous souhaitez indiquer. Donc, sans quitter le web, vous allez enregistrer et caractériser le contenu pour mieux retrouver ensuite votre page sauvegardée. Présentation en images Quelques limitations L’extension Save to Notion a du mal à sauvegarder les pages créées déjà sur Notion. De même dans le cadre de recettes où il est possible sur le site de choisir le nombre de personnes et qui fait varier de ce fait les quantités, la sauvegarde n’est pas automatique. Connaissant ces limitations, rien de plus simple que de vérifier une fois la sauvegarde faite que l’intégralité de l’article a bien été conservé. Mon avis Gain de temps et facilité d’utilisation : encore un combo gagnant ! Un indispensable pour démultiplier l’efficacité de Notion. Quel que soit le besoin de votre association en terme de digitalisation, si nous en parlions ensemble ? Je réserve mon rendez-vous découverte

Les outils # 3 : Notion Calendar

Image d'illustration avec des personnages Notion

Un nouvel outil dans la boîte Vous le savez, je suis fan de Notion. C’est d’ailleurs mon outil #1 ! Fan de sa facilité de prise en main, fan de sa modularité, fan des possibilités offerte par cet outil. Désormais, je suis méga fan parce que Notion vient de lancer (le 18 janvier 2024) le Notion Calendar. Pour faire simple, un outil qui vous permet d’allier les fonctionnalités de votre Google Calendar avec vos bases de données en vue calendrier sous Notion. Je ne me lancerai pas dans un tutoriel de présentation : Shubham Sharma, Vince de Kréa City ou encore Lou Attal l’ont déjà fait. Je vous invite à voir ces vidéos pour découvrir visuellement l’outil. Un nouveau calendrier, pourquoi faire ? Notion Calendar vient se superposer à votre Google Calendar. Sa force ? Il vient agréger toutes les vues calendrier que vous pouvez avoir dans vos bases de données Notion pour les intégrer et les synthétiser dans un seul outil. Jusqu’à présent, je jonglais entre plusieurs calendriers ou vues chronologiques éparpillées : les vues calendrier de mes missions de consultante, dans lesquelles des tâches sont indiquées avec des plages de travail et des dates limite le calendrier pour toutes les tâches récurrentes, celles que l’on risque le plus facilement d’oublier, quand on est prise dans le quotidien : la déclaration URSSAF, la sauvegarde de l’espace Notion, la sauvegarde du site Internet, la mise à jour de la comptabilité, les rapprochements bancaires et toutes ces petites tâches chronophages mais véritablement incontournables le calendrier éditorial dans lequel j’ai programmé les articles à rédiger pour mon site et les idées de posts à mettre sur LinkedIn le calendrier de rendez-vous professionnels lié à l’outil Koalendar pour les rendez-vous découverte Et mon calendrier de rendez-vous personnels De quoi s’y perdre ! Quelle utilité ? La question se pose de la performance de l’outil par rapport aux outils déjà existants ou déjà en place. Comme je l’ai dit, Notion Calendar est une couche supplémentaire qui vient agréger les actions, tâches et sous tâches enregistrées dans Notion avec votre calendrier classique. De plus, Notion Calendar permet un gain de temps dans la programmation des rendez-vous. On reste dans l’idée de l’espace collaboratif cher à Notion. Donc directement depuis le calendrier, il est possible de réserver des plages horaires, d’envoyer le lien de réservation aux personnes invitées à la réunion et que celles-ci ci et ceux-ci puissent répondre directement. Une fois le créneau bloqué par les participant•es, les autres dates et horaires proposés s’effacent. Un énorme gain de temps, quand on sait la difficulté qu’il y a à bloquer un créneau de rendez-vous et de réunion quand il y a plus de deux personnes ! Pour découvrir toutes les fonctionnalités : voir les premiers pas avec Notion Calendar Ce que j’en pense Clairement, je ne pensais pas avoir besoin d’un nouveau calendrier. Je m’étais habituée à passer d’une vue calendrier à une autre dans mon espace Notion professionnel. La perte de temps me paraissait gérable au regard des autres avantages de Notion. Comme Notion est l’outil central sur lequel je pilote mon activité, il va de soi que je me tiens informée des nouveautés. Donc, j’ai assisté à un webinaire de présentation de Notion Calendar. Et aussitôt la présentation faite, je l’ai téléchargé et y ai rapatrié tous mes calendriers et toutes mes vues calendrier… J’ai également installé l’app sur mon téléphone et ma tablette. Je n’ai pas encore exploité toutes les possibilités de l’outil. Travaillant en solo, toutes les fonctionnalités de partage en mode équipe ne me sont pas très utiles pour le moment. Travaillant en France, l’affichage de plusieurs fuseaux horaires en marge du calendrier ne m’est pas très utile non plus. Quelques bémols J’aurais aimé trouver quelques fonctionnalités natives comme la mise à jour dans les deux sens c’est-à-dire de Notion Calendar vers Google Calendar pour bloquer les temps de travail profond ou bien encore la possibilité depuis Notion Calendar d’utiliser un modèle de page d’une base de données lors de la création d’un rendez-vous. Mon avis Notion + Notion Calendar : combo gagnant pour la productivité et la gestion du temps. Je recommande d’autant plus que l’outil est lui aussi gratuit. Lien de téléchargement de Notion Calendar Télécharger Notion (lien affilié) Quel que soit le besoin de votre association en terme de digitalisation, si nous en parlions ensemble ? Je réserve mon rendez-vous découverte

Les outils #2 : le time tracker

Horloges de couleurs pastel

J’ai adopté pour mon activité un time tracker Gérer son temps en tant que freelance est un véritable défi auquel je n’étais clairement pas préparée quand j’ai lancé mon activité en janvier 2023. S’il a été facile pendant les deux premiers mois de tracer mon temps dans la mesure où je n’avais qu’une seule association cliente, dès que mon activité s’est développée à la fin du premier semestre, la question du suivi des heures par mission s’est imposée. J’ai donc souscrit un abonnement à un outil avancé qui suit pas à pas mes activités et ce à quoi je consacre mon temps chaque jour. Un outil autant d’analyse que d’appui pour ma facturation au temps passé. Accompagnant les associations dans leur développement et leur changement d’échelle, je me suis posé la question de la pertinence d’un tel outil. Adopter les outils de l’entreprise pour optimiser le fonctionnement d’une association, est-ce une vraie fausse bonne idée ?  A quoi peut bien servir un outil de time tracking pour une association ? Un outil servant à mesurer le temps va donner des indications de gestion du temps. CQFD. Mais encore ? Quels usages peut-on espérer d’une telle pratique au sein d’un organisme sans but lucratif ? Repérer, estimer et analyser : repérer les tâches répétitives sans valeur ajoutée qui pourraient être remplacées par des outils et des automatisations, permettant de libérer du temps de terrain pour les équipes estimer les temps consacrés à la gestion de certains projets. Chiffrer le temps passé par les équipes salariées au pilotage de certaines actions de fond permet de définir précisément la quote-part de fonctionnement attribuée à chaque projet, autrement qu’au doigt mouillé. analyser les temps de rupture et la difficulté de concentration pour sanctuariser des temps de travail sans distraction. Le recours à cette pratique peut également appuyer une réflexion de fond sur l’organisation du temps de travail. Elle apporte des éléments tangibles, mesurables et quantifiables. Equilibre de vie, fonctionnement hybride présentiel et distanciel, temps de mobilisation vs temps de récupération… les applications et usages ne manquent pas. Les freins à la mise en place Importer de manière brutale des outils de productivité issus de l’entreprise dans le monde associatif sans pédagogie préalable pourrait être plus que mal perçu avec une réticence à utiliser un outil technologique imposé crainte de surveillance (flicage) des activités en ligne  remise en question de la confiance et du degré d’autonomie des équipes Mes recommandations Adaptation plutôt qu’imposition ! Le recours à un outil de suivi qui traque automatiquement n’est pas un indispensable. Mais savoir où passe le temps est en revanche plus que nécessaire pour améliorer la qualité de vie au travail. Des templates – sur Notion par exemple – permettent de faire un suivi avec une heure de début et une heure de fin.  L’activité répartie en blocs de temps selon la méthode Pomodoro offre aussi la possibilité d’estimer le temps passé selon les tâches réalisées. Il existe des applications en ligne gratuites pour créer sa to-do list et planifier ses temps de travail selon cette méthode. Alors, utile ou pas utile ? La mise en place d’un outil automatique est profitable dans le cas d’une association développant de nombreuses actions et projets. Les associations proposant des actions de sensibilisation ou de formation pourront s’appuyer sur l’outil pour vérifier l’adéquation entre le temps passé réellement à construire les interventions et le montant facturé.  Enfin, c’est un bon support pour générer des indicateurs fiables dans le cadre de subventions, traçabilité à l’appui. Son utilité est évidente dans le suivi administratif et comme accessoire de pilotage opérationnel. Rize Pour ma pratique de consultante indépendante, j’ai souscrit un abonnement à Rize, outil Saas qui me permet d’ : avoir une vue d’ensemble de mon temps de travail analyser les phases de focus et les temps de pause affecter certaines tâches à des missions précises pour facturer les clients au temps réel passé apprécier plus justement les blocs de temps nécessaires à la réalisation d’une tâche : non, clairement, rédiger un article sur le blog ne me prend pas une heure ! Si vous souhaitez découvrir Rize, voici un lien d’affiliation pour tester cet outil avec un mois gratuit offert. Quel que soit le besoin de votre association en terme d’organisation, si nous en parlions ensemble ? Je réserve mon rendez-vous découverte

Galette et networking

Galette des rois

Les rendez-vous de janvier 2024 Pour ma première rentrée de janvier depuis le lancement de mon activité, je savais que l’agenda serait bien rempli tant au niveau professionnel que bénévole. Avec des à-côtés plutôt sympathiques, des temps de rencontre et d’échange autour de galettes. Etant dans un environnement majoritairement féministe, il va de soi que les invitations étaient lancées à partager la galette des Reines. Ainsi, le 8 janvier, j’ai participé à la Galette des Reines de l’association HF Ile de France à la Cité Audacieuse. Et le 24 janvier à la Galette des Reines du NoCode avec les alumnae de WinSide dans une cave à vin partagée tenue par Carine Marsac qui a aussi pris la photo souvenir ci-contre. Au-delà de la gourmandise, ce fut pour moi l’occasion de revoir des camarades militantes féministes et de rencontrer des élèves d’autres promotions de NoCodeuses. De gourmandises en gourmandises Dans le local de La France s’engage pour l’ESS Women Day – 27 janvier 2024 De présentations en discussions, des convergences sont apparues, faisant réseau. La NoCodeuse Itsuko de la promo 7 me parla de Mourad, de l’ESS Factory et nous mit en relations. L’ESS Factory organisait le samedi 27 janvier son ESS Women Day à la Maison de la France s’engage. Une occasion en or d’aller à la rencontre de cette structure et de ses bénéficiaires.  Un temps fort, riche de dynamisme, d’enthousiasme, de mobilisation avec des structures associatives portées par des femmes de tous âges et de tous horizons, luttant contre les injustices, les inégalités et les discriminations.  Et pour moi, une nouvelle opportunité de faire réseau, de présenter mon activité et de réfléchir à des moyens de rejoindre ce mouvement pour y partager mon expertise.  Comme quoi, la gourmandise a parfois du bon… 

Choisir d’être coachée

Mot "workshop"

Le constat de départ À la fin de ma première exercice d’activité, il était nécessaire pour moi d’établir le bilan, non seulement financier, mais surtout opérationnel. Toutefois, il me manquait l’expertise pour mener à bien seule cet exercice avec toute la sérénité et le recul nécessaires. Aussi ai-je participé à un atelier de 2 × 2 heures en ligne. L’objectif ? Être guidée dans le processus pour mieux appréhender les résultats et mieux définir les objectifs de l’année à venir. Bref, j’ai choisi d’être coachée ! Comment choisir ? La question du choix ne s’est pas posée de façon formelle. Je ne me suis pas levée un beau matin avec pour objectif de la journée de passer en revue les différentes offres d’accompagnement avant de décider quel•le prestataire retenir. Il faut dire que j’avais déjà : repéré le caillou dans la chaussure, le truc qui gène et qui empêche d’avancer considéré la possibilité d’une auto-formation grâce à des contenus disponibles en ligne comme des tutoriels sur YouTube repoussé l’idée d’un travail en totale autonomie par manque de compétences sur le sujet. Et un alignement de planètes a fait le reste. En clair, dans ma veille quotidienne d’informations, j’ai repéré une proposition de service, ai regardé le contenu et vérifié son adéquation à mes attentes. Ce qui m’a décidée ?  une présentation claire et dynamique un format compatible avec mes disponibilités un tarif abordable des supports sur Notion des retours clients positifs J’ai donc choisi de suivre le programme concocté par Mathilde Durand, coach business pour les freelances et baptisé « Destination 2024 – Fais ton bilan & prépare l’année qui arrive ! » Ce que cela m’a apporté Suivre ces deux sessions m’a donné l’impulsion initiale nécessaire pour mener à bien un exercice qui aurait été autrement moins précis et moins complet. Il est fort probable que j’aurais complété toute la partie financière avec une analyse charges/produits et un rapprochement avec le business plan initial. Et je n’aurais certainement pas envisagé le volet émotionnel de mon activité.  Ce « workshop » m’a guidée : dans le process du bilan humain autant que financier pour l’année écoulée et dans la mise à plat des objectifs professionnels ET personnels pour l’année 2024 Outils et format Notion La mise à disposition d’un espace Notion avec des modèles, une feuille de route et un accompagnement pas à pas complétait l’approche. J’ai déjà évoqué dans un précédent article ce que m’apporte l’outil Notion dans l’organisation de mon activité et tout le bien que j’en pense. Ainsi, la planification 2024 faite dans le cadre de cet atelier a naturellement intégré l’espace Notion de pilotage de mes projets. Une base de données compile toutes les actions programmées avec les tâches détaillées. Mes objectifs sont intégrés à mon calendrier Notion Calendar : je peux les suivre au jour le jour. En clair, la partie « bilan » est archivée et la partie « planification » est active.  Les « lives » L’atelier proposait deux temps d’animation et de présentation, une session de deux heures sur le bilan et le lendemain une autre session de même durée sur les objectifs.  Ce format donnait la possibilité d’impulser les exercices, de lancer la dynamique pour mieux approfondir et compléter par la suite, en autonomie.  Des plages d’expression et d’interactions avec le groupe étaient très bienvenues pour partager certaines croyances limitantes, par exemple. Je précise que cet article n’est pas à visée promotionnelle et que je n’ai aucun lien d’affiliation avec Mathilde Durand. Pour aller plus loin Cette expérience a fait l’objet de ce post sur LinkedIn :

Bilan de l’année 2023 – second semestre

Pile de journaux (image d'illustration)

Le premier semestre de mon activité s’est achevé sur une pente ascendante. Que dire du second semestre ? Avec la perspective de deux missions de diagnostic à la rentrée de septembre, j’abordais avec une certaine sérénité les mois à venir. Sauf que le monde des freelances n’est pas celui des Bisounours. Voici donc les grandes lignes de ce bilan. Un été studieux Lorsque j’ai débuté mon activité, j’ai d’abord bordé toutes les questions juridiques et administratives. Puis, j’ai construit mon offre, développé mon site et créé la page LinkedIn d’Is@ vous Zed.  J’étais parée : tout était en place pour mes premières interventions de freelance. Tout ? Pas vraiment… Je n’avais pas construit mon vaisseau pilote, l’architecture qui me permettrait de mener à bien les missions confiées. Aussi, au fur et à mesure des besoins, un peu dans l’urgence et un peu à l’arrache selon le principe du « ça devrait le faire », j’ai mis en place des bases de données et des formulaires, le tout construit sur des embryons de process et de workflow.   Faute de structure et de méthode, même avec Notion je me perdais. Aussi ai-je décidé d’investir dans mon premier outil : moi-même. Et de suivre la formation proposée par Contournement, le « Cahier de vacances : devenez plus productif grâce au no-code et l’IA ».  Résultats ? Fin août, une fois la formation achevée, j’avais structuré mon emploi du temps avec : un planning hebdomadaire avec sanctuarisation de plages pour l’administratif et la communication, y compris le traitement des mails un temps de rétrospective quotidien façon journal le recours à la vidéo pour répondre aux demandes « longues » c’est-à-dire demandant beaucoup de rédaction Autre apport qui a conduit à un investissement : j’ai souscrit à Rize un time tracker automatique en ligne. Cet outil m’a permis de constater que j’avais largement sous-estimé le temps nécessaire à certaines tâches et que mon ratio temps effectif / temps facturable n’était pas bon. Sur ma lancée, j’ai : amélioré la présentation et les fonctionnalités de ce site en mettant en œuvre des recommandations de la formation WordPress suivie en début d’année (voir l’article Une mise à jour cosmétique). ajouté toute la partie « diagnostic initial » dans Notion avec les trames d’interview et les fiches d’analyse Une rentrée bien remplie Au programme de cette rentrée, les forums associatifs organisés par la Mairie de Paris. J’ai parcouru de nombreux arrondissements pour aller à la rencontre des associations sur leur terrain, me présenter et proposer mes services.  Pendant trois week-ends de suite, j’ai pu : travailler ma présentation et mon argumentaire commercial affiner mes réponses à l’exclamation « C’est cher ! » retrouver quelques connaissances sur leurs stands et échanger avec elles. Sans compter les bienfaits de la marche ! Salons et autres rencontres Toujours investie dans la découverte du NoCode et de ses communautés, j’ai assisté : en octobre au NoCode Summit en novembre au MeetUp Notion et à la soirée ParisCode Diversitech à l’Hôtel de ville de Paris aux réunions mensuelles de NoCode France dont la soirée d’anniversaire des 3 ans de l’association J’ai également participé au festival « C’est qui la boss ? » consacré aux femmes entrepreneures et freelances.  au premier Free Up Festival, événement destiné aux freelances et autres solopreneurs. Ce que cela m’a apporté ?  la possibilité de rencontrer en vrai des personnes avec qui j’échangeais à distance, des idées d’amélioration de mes pratiques de freelance, la joie de retrouver des camarades de la promo 9 des NoCodeuses Du côté des missions Mon agenda de rentrée prévoyait deux missions de diagnostic initial qui auraient dû se succéder. C’était sans compter avec les impondérables qui ont bouleversé la chronologie établie. Ces deux missions se sont donc concentrées sur les deux derniers mois de l’année. Les retours des associations sur la qualité de mes prestations et de mon accompagnement sont très positifs, avec une évaluation globale sur l’année (6 votes) de 4,8 / 5 ! Bénévolat Pour ne pas perdre le lien avec le terrain, j’ai continué de m’investir tout au long de l’année dans des actions bénévoles : avec Ensemble contre le Sexisme pour la gestion du site et surtout pour le pilotage d’un projet de jeu digital développé par des étudiants de CentraleSupélec dans le cadre d’un appel à projet de Latitudes avec NoCode France dans la Guilde Diversité & Inclusion, travaillant sur un projet de mise en accessibilité des podcasts de l’association pour les personnes déficientes auditives avec Latitudes pour une action ponctuelle d’expertise sur l’accessibilité lors d’une interview d’analyse de projet. Le challenge #JeRamenMaFraise Constatant mes besoins d’accompagnement en communication numérique sur les réseaux sociaux, je me suis inscrite au challenge proposé gratuitement par Nina Ramen de Ramen ta Fraise sur LinkedIn. Une semaine de conseils de publication pour visibiliser les femmes entrepreneures Un coaching pour dépasser les croyances limitantes et se coltiner avec le syndrome de l’imposteur Un espace bienveillant de sororité et de partage. Non seulement je suis parvenue à tenir le rythme – ce qui m’a demandé un authentique investissement de temps et d’énergie – mais je me suis surprise à la fin de la semaine à fêter cette victoire sur moi-même. Cette victoire en chiffres : + 523,3 % ! d’impressions pendant cette semaine. Bilan carbone Pour la première fois cette année, j’ai établi mon bilan carbone en ligne. Résultat : 4,1 tonnes de CO₂-e chaque année Je ne mange pas de viande, je n’ai pas de voiture et toutes mes ampoules sont des LED… Ce qui a plombé mon résultat ? Le voyage en Egypte en septembre, ma seule vraie semaine de vacances de l’année. Je crois que je partirai moins loin l’an prochain !  

Bonne année 2024

Formes graphiques

Osons la démesure : croyons en nos rêves. A toutes et tous, je vous présente tous mes vœux de réussite et d’épanouissement pour cette nouvelle année. Et qui sait, peut-être aurons-nous la chance de parcourir une partie du chemin ensemble…  

Bilan de l’année 2023 – premier semestre

Pile de journaux (image d'illustration)

C’est bien connu  : janvier est le mois des bilans et autres clôtures comptables. Mon activité de consultante indépendante n’y échappe pas. A la fin de cette première année d’activité à mon compte, j’ai dressé mon bilan, plus opérationnel que financier. Pour m’y aider, j’ai suivi le workshop « Destination 2024 » proposé par Mathilde Durand qui accompagne les freelances débutant•es. C’est parti pour le regard dans le rétroviseur de 2023. Un départ sur les chapeaux de roue Lorsque j’ai lancé Is@ vous Zed, j’avais déjà une mission dans les tuyaux. Je savais que d’entrée de jeu, j’allais pouvoir travailler sur un projet de longue haleine. Et pour mettre toutes les chances de mon côté : j’ai suivi une formation sur WordPress pour construire mon site, j’ai pris l’attache d’une avocate spécialiste en propriété intellectuelle et nouvelles technologies pour encadrer mes contrats de prestation de services j’ai fait appel à une agence pour créer mon identité visuelle Une pause imprévue mais bienvenue Par un heureux concours de circonstances faisant intervenir une amie praticienne de Shiatsu, une proposition Pôle Emploi et un webinaire d’information, j’ai intégré fin février une formation à temps plein destinée aux femmes en seconde partie de carrière. Dispensée par WinSide, cette formation intense de deux mois m’a permis de découvrir l’univers du No Code et de monter en compétences sur le pilotage de projets. A l’issue de ces deux mois, j’avais ajouté de nouveaux outils digitaux à ma boîte à outils partagé de véritables moments de sororité avec des camarades de promotion découvert et intégré une communauté bienveillante, celle du No Code Un nouveau tournant Travailler le relationnel n’entrait clairement pas dans le business plan initial que j’avais construit avant de me lancer. Toutefois, au deuxième trimestre, plusieurs rencontres ont mis sur le devant de la scène cet aspect indispensable à la poursuite de mon activité : lors d’une visite apprenante avec WinSide, j’avais rencontré Pulse, incubateur situé à Montreuil, qui proposait un programme destiné aux porteurs de projets à impact relevant de l’économie sociale et solidaire. Devant la possible convergence entre leurs actions et mes compétences, j’avais laissé mes coordonnées à la chargée d’accompagnement.  les formatrices et formateurs du programme No Codeuses de WinSide avaient présenté les missions et actions de l’association No Code France ayant assisté à un webinaire présentant le programme Freelance for Good, j’ai été invitée à participer à une soirée destinée aux freelances et organisée par Social Declik. Aussi, des actions se sont mises en place : en mai, j’ai été invitée par Pulse à animer un atelier sur la recherche de fonds publics j’ai rejoint l’association No-Code France en tant qu’adhérente et bénévole dans la Guilde Diversité & Inclusion j’ai fait la connaissance lors d’une soirée d’une personne qui m’a recommandée. De cette recommandation est née une mission.

Envoyer des fichiers volumineux

Une ampoule entourée de post it de couleurs (image d'illustration)

Un problème ? Tu vas penser que je suis nulle et tu auras raison…. je n’ai jamais compris comment fonctionnait WeTransfer et même si j’ai réussi à télécharger les affiches sur mon ordi, je ne sais absolument pas comment les transférer ! faut dire que personne ne m’a jamais appris à le faire. Voici le message reçu en ce début d’année de la part d’une camarade bénévole un peu perdue devant WeTransfer. Devant cet appel à l’aide, une solution… Une Z’Astuce Voici la première Z’Astuce de 2024 : utiliser WeTransfer pour envoyer des fichiers volumineux, des fichiers trop lourds pour partir en pièces jointes d’un courriel. Besoin d’aide ? Une Z’Astuce, c’est un conseil pratico-pratique pour répondre à une question d’utilisation d’outils digitaux. Une Z’Astuce, c’est un tutoriel vidéo de moins de 5 minutes pour voir comment faire. Si vous aussi vous vous demandez « comment faire pour… », posez-moi votre question directement en m’écrivant à isabelle@isavouszed.fr